jeudi 6 septembre 2018

Mais où sont nos Rotherham, Telford et Rochdale ?

Eh, Jean-Jacques !

En Angleterre, les scandales de gangs qui prostituent et torturent des gamines, ça se succède comme une série télé. Rotherham, Rochdale, Oxford, Newcastle, Telford, et maintenant Huddersfield.
A chaque fois, les proxénètes sont des immigrés "asiatiques" : Pakistanais, Turcs, Irakiens, ...

Alors je me demandais : et chez nous ? on n'a pas pareil ?

J'ai cherché un peu, et j'ai trouvé : mais si, mais si, chez nous, c'est tout pareil, sauf qu'on en parle beaucoup moins, et qu'on leur a trouvé un nom beaucoup plus sympa : "proxénétisme des cités".
Fais un tour sur Google, tu vas voir, la pêche est bonne !

Par exemple cet article tout récent sur Le Point. Très soft.
Ou sur 20 Minutes, en juillet : 14 filles dont 8 mineures. Tiens, tiens...

Ou encore sur Le Parisien en 2017 : là, on en apprend de belles : "jeunes voyous des cités", anciens vendeurs de drogue. Tu vois le genre, pas besoin de te faire un dessin.
Séquestrations, menaces avec armes, actes de barbarie, brûlures de cigarettes.
Des filles entre 17 et 25 ans, avec 56% mineures.

Idem sur Le Point en 2016. Caïds des cités, mineures dès 13 ans, séquestration, viols et violences.

Ou encore sur La Dépêche, en juillet dernier, à Narbonne : des petits truands de cité, voleurs et vendeurs de drogue, qui prostituent de force des mineures : bande organisée, séquestration, menaces et violences (les filles transportées dans les coffres de voiture), viols en réunion, filles droguées à la cocaïne.


Bref, c'est tout pareil qu'en Angleterre, sauf que c'est pas des Pakistanais parce que en France, l'immigration elle vient pas tellement du Pakistan.
Et puis qu'on a jamais ni les noms ni les photos des gugusses. Comme ça, même pas besoin de prendre une grosse dose de Padamalgam.
Et enfin, qu'on a pas encore de Tommy Robinson pour faire remonter cette merde politiquement incorrecte au grand jour, avec tous les risques qui vont avec.

Tiens, touche-en 2 mots à ton pote Askolovitch : ça pourrait l'aider à lui faire sauter son mur de la compassion, de voir de jeunes françaises violentées en temps de paix.

Mais je parie que vous préférerez fermer votre gueule.